Le CBD, les règles et les syndromes prémenstruelles
TEMOIGNAGES
Julie, Hélène, Louise, Lucie, Manon, ce sont des filles comme toutes les autres, et comme toutes les autres une fois par mois elles ont leurs règles et leur lot qui débarquent. S'en suive alors le rituel : bouillotte et ibuprofène, Antadis, paracétamol, aspirine ou Dolipran pour lutter contre la douleur. Chacune ayant sa stratégie pour éviter leurs inconvénients. Et ce, avant ou pendant ses règles.
Alors oui c’est naturelle, mais oui, ces règles c’est aussi un réel handicape pour 70% de femmes en France chaque mois restant un sujet tabou. Combien ont déjà dû poser une journée car la douleur était trop intense ? Combien sont épuisées à ces périodes du mois ? Combien prennent des réflexions par un ami, un collègue, une collègue « oulah mais t’as tes règles ou quoi ?! » ?
Il est connu et reconnu que l’ibuprofene principal composé de l’antadis, est très efficace pour lutter contre la douleur et les inflammations faisant parti des anti-douleurs non steroidien (AINS) pendant les périodes de règles. À l’inverse, le paracetamol n’a pas d’action anti-inflammatoire restant plus efficace pour lutter contre la fièvre ou la douleur faible à modérée. L’aspirine, lui, fait bien parti des AINS, un anti inflammatoire donc, mais plutôt à éviter lors des périodes de règles car il fluidifie le sang ce qui peut provoquer un flux sanguin plus important.
Il est connu et reconnu que l’ibuprofene principal composé de l’antadis, est très efficace pour lutter contre la douleur et les inflammations faisant parti des anti-douleurs non steroidien (AINS) pendant les périodes de règles. À l’inverse, le paracetamol n’a pas d’action anti-inflammatoire restant plus efficace pour lutter contre la fièvre ou la douleur faible à modérée. L’aspirine, lui, fait bien parti des AINS, un anti inflammatoire donc, mais plutôt à éviter lors des périodes de règles car il fluidifie le sang ce qui peut provoquer un flux sanguin plus important.
Vous l’aurez donc compris l’ibuprofène reste un des médicaments les plus efficace lorsqu’il s’agit de nos règles.
Mais voilà l’ibuprofène, que vous prenez chaque mois de 1 à x comprimés est toxique pour notre corps.
« Vous en connaissez beaucoup, des traitements mortels utilisés pour traiter des pathologies qui ne le sont pas?» se demande le Doyen Patrice Queneau honoraire de la faculté de médecine de Saint-Étienne. Risque connu et reconnu depuis les années 90. L’ibuprofène augmente les risques cardio vasculaire tels les infarctus ou les AVC. Cela couplé au effets secondaires de la pilule contraceptive, chaque mois, nous pourrions penser que toutes ces femmes jouent à la roulette russe.
Et ceci sans nous étaler sur ses impacts digestifs et rénaux, même à faible dose.
Alice raconte : « Je fais partie de ces personnes qui ont des règles douloureuses, très abondantes pendant une semaine, avec des syndromes prémenstruels prononcés, avec ou sans pillule. Avant, je me posais pas la question, à peu près une semaine avant mes règles je commençais à avoir mal au ventre. Ça m’arrivait donc de prendre de l’antadis avant même que mes règles arrivent. Quand le D-Day arrivait je ne pouvais pas le louper. Ça m’obsédait, parce que forcément on se sait jamais quand est ce que ça va arriver, mais ce qu’on sait, c’est qu’il ne faut pas louper la prise d’ibuprofene sinon on est cuite. C’est retour à la maison (quand c’est possible bien sûr) allongée sur mon lit et bouillotte. Si ce n’est quand elles ne décident pas d’arriver en plein milieu de la nuit ...
Mais voilà l’ibuprofène, que vous prenez chaque mois de 1 à x comprimés est toxique pour notre corps.
« Vous en connaissez beaucoup, des traitements mortels utilisés pour traiter des pathologies qui ne le sont pas?» se demande le Doyen Patrice Queneau honoraire de la faculté de médecine de Saint-Étienne. Risque connu et reconnu depuis les années 90. L’ibuprofène augmente les risques cardio vasculaire tels les infarctus ou les AVC. Cela couplé au effets secondaires de la pilule contraceptive, chaque mois, nous pourrions penser que toutes ces femmes jouent à la roulette russe.
Et ceci sans nous étaler sur ses impacts digestifs et rénaux, même à faible dose.
Alice raconte : « Je fais partie de ces personnes qui ont des règles douloureuses, très abondantes pendant une semaine, avec des syndromes prémenstruels prononcés, avec ou sans pillule. Avant, je me posais pas la question, à peu près une semaine avant mes règles je commençais à avoir mal au ventre. Ça m’arrivait donc de prendre de l’antadis avant même que mes règles arrivent. Quand le D-Day arrivait je ne pouvais pas le louper. Ça m’obsédait, parce que forcément on se sait jamais quand est ce que ça va arriver, mais ce qu’on sait, c’est qu’il ne faut pas louper la prise d’ibuprofene sinon on est cuite. C’est retour à la maison (quand c’est possible bien sûr) allongée sur mon lit et bouillotte. Si ce n’est quand elles ne décident pas d’arriver en plein milieu de la nuit ...
Puis un jour j’ai découvert que ce que je prenais bêtement pour me soulager de cette douleur chaque mois, était apparemment nocif pour ma santé ? Choc ! Je savais déjà que le problème de règles des femmes n’intéressait que peu de monde mais là, c’est le pompon. Donc si je comprends bien : depuis mon adolescence on m’expliquerait que je dois prendre un médicament toxique pour aller mieux et ça, ça ne dérange personne ? À ce moment là, je n’avais pas encore trouvé de traitement alternatif... là où les gynécologues ou médecins consultés, me conseillaient TOUS de prendre des hormones, ce dont je n’avais PAS du tout envie. Face à la toxicité annoncée de l’ibuprofen, mon réflexe a donc été de rechercher quelques chose de naturel et sain pour mon corps. Je souhaitais retourner aux bases.
Comment faisaient les femmes avant ? J’ai alors essayé différentes approches. Le saule blanc, l’harpagophytum, la camomille.. ça fonctionne pour être honnête, mais avec une efficacité aléatoire et surtout, cela met beaucoup de temps à faire effet, ce qui implique de prendre son mal en patience ou beaucoup d’anticipation.
Puis un jour on m’a demandé si j’avais essayé l’huile de CBD sur mes douleurs menstruelles. Je connaissais des personnes qui en prenaient pour d’autres raisons ou douleurs, mais c’est vrai que je n’y avais jamais pensé pour des douleurs menstruelles.
Bilan : ça marche !
Je prends une dose complète 3/4 fois par jour, soit environ 100 mg lors de fortes douleurs, ou moins si je n’en ressens pas le besoin. Ensuite je ne veux mentir à personne, j’ai des douleurs importantes donc je suis parfois forcée de prendre un ibuprofen. Mais j’ai diminué ma prise par 2 voir 3. Et surtout je n’ai pas besoin d’attendre très longtemps pour voir des effets apparaître. Et autant vous dire que pendant ces périodes je suis d’autant plus détendue, et je dors comme un bébé. Personne ne peut me faire de réflexions sur mes sauts d’humeur, car je n’en ai pas. :) »
Puis un jour on m’a demandé si j’avais essayé l’huile de CBD sur mes douleurs menstruelles. Je connaissais des personnes qui en prenaient pour d’autres raisons ou douleurs, mais c’est vrai que je n’y avais jamais pensé pour des douleurs menstruelles.
Bilan : ça marche !
Je prends une dose complète 3/4 fois par jour, soit environ 100 mg lors de fortes douleurs, ou moins si je n’en ressens pas le besoin. Ensuite je ne veux mentir à personne, j’ai des douleurs importantes donc je suis parfois forcée de prendre un ibuprofen. Mais j’ai diminué ma prise par 2 voir 3. Et surtout je n’ai pas besoin d’attendre très longtemps pour voir des effets apparaître. Et autant vous dire que pendant ces périodes je suis d’autant plus détendue, et je dors comme un bébé. Personne ne peut me faire de réflexions sur mes sauts d’humeur, car je n’en ai pas. :) »
Des récepteurs cannabinoïdes sont présents dans l’appareil génital féminin. Cela signifie donc que le CBD pourrait être efficace pour soulager les douleurs pelviennes. Une étude montre que sur 134 patientes, 60% ont vu un effet positif sur leurs douleurs pelviennes après avoir utilisé du cannabis médicinal.